- Jun 30, 2025
L'IA : LE GRAND REMPLACEMENT ???
- Mehdi Leformateur
Article tiré de mes emails légendaires (abonne toi vite).
Mon cher ami,
Tu es debout sur cette plage dorée, les pieds dans le sable chaud. Devant toi, l'océan s'étend à perte de vue. Soudain, l'eau se retire. Très loin. Si loin que tu vois le fond marin nu, parsemé d'algues brillantes et de poissons qui se débattent.
Autour de toi, des enfants aux yeux émerveillés courent vers cette étendue mystérieuse, les bras chargés de coquillages nacrés et d'étoiles de mer scintillantes. Leurs rires cristallins résonnent dans l'air salé. Tout semble magique, féerique, irréel.
Mais toi, le cœur qui s'emballe, tu reconnais les signes. Cette beauté hypnotique cache une terreur absolue. Dans quelques minutes, la vague monstrueuse va déferler et tout emporter sur son passage.
L'intelligence artificielle, c'est exactement ça. Cette eau trompeuse qui se retire en ce moment même sous tes yeux ébahis.
Ces derniers mois, tu as goûté aux miracles de cette nouvelle ère. ChatGPT rédige tes emails avec l'élégance d'un secrétaire parfait. Midjourney enfante des visuels somptueux d'un simple claquement de doigts. Des lignes de code naissent comme par magie, fluides et fonctionnelles.
Comme ces enfants insouciants sur la plage, nous nous gavons de ces pouvoirs divins, hypnotisés par tant de facilité.
Mais dans l'ombre, quelque chose de plus sombre se trame.
Imagine Sophie, graphiste indépendante depuis quinze ans. Hier encore, elle facturait 2000€ pour un logo sur mesure, fruit de semaines de recherche et d'inspiration. Aujourd'hui, elle observe, le ventre noué, des outils robotiques pondre des créations séduisantes en trente secondes chrono.
Elle ne va pas disparaître du jour au lendemain. Ce serait trop simple. Non, elle va lentement suffoquer. Ses tarifs vont fondre comme neige au soleil. Ses clients vont négocier âprement. Elle va devoir se réinventer en consultante créative, jongler avec mille casquettes ou voir son rêve se transformer en cauchemar.
C'est déjà en train d'arriver. Maintenant. Sous tes yeux.
Tu penses que ton métier flotte au-dessus de cette marée noire ? Laisse-moi te réveiller brutalement : aucun emploi ne survivra intact. Certains vont muter, d'autres vont s'évaporer comme rosée matinale.
Et ce n'est pas une prophétie fumeuse. Les chiffres sont glaciants : 150 000 emplois rayés de la carte en 2024 chez les géants Google, Amazon, Meta, Microsoft, Tesla. Pas des compressions budgétaires classiques, mais des exécutions technologiques. L'IA remplace, l'IA dévore, l'IA conquiert.
300 millions d'emplois à temps plein pourraient être remplacés par l'IA dans le monde selon Goldman Sachs. En Europe, 12 millions d'emplois menacés d'ici 2040 d'après Forrester Research. Aux États-Unis, 16% de tous les emplois pourraient disparaître en moins de cinq ans.
Maintenant, laisse-moi te décrire le calendrier de cette apocalypse économique.
D'ici 2030, les premières vagues léchent la côte. Les centres d'appels se vident silencieusement, remplacés par des voix synthétiques parfaites. 2 millions de travailleurs du secteur manufacturier seront remplacés par des outils automatisés selon MIT et Boston University. Plus de 7,5 millions d'emplois de saisie de données disparaîtront selon le World Economic Forum. Mais rien d'alarmant. Pas encore.
Entre 2035 et 2040, le tsunami frappe de plein fouet. 85% de chances que le carnage soit total. Les métiers créatifs et analytiques explosent en mille morceaux avant de se recomposer dans des formes méconnaissables.
McKinsey prédit que 14% des salariés mondiaux, soit 375 millions de travailleurs, devront changer de carrière à cause de l'IA d'ici 2030. Un PDG sur quatre s'attend à ce que l'IA générative entraîne des suppressions d'emplois de 5% ou plus dans son entreprise.
Mais attention, et c'est le piège mortel : la mutation n'est pas automatique. Notre Sophie graphiste ne va pas se métamorphoser en stratège visionnaire comme par enchantement. Entre concevoir un logo et décrypter l'âme d'une marque, négocier avec des directeurs marketing retors, analyser des tendances sociologiques complexes, il y a un gouffre béant.
Le comptable qui passait ses journées à saisir des factures devra soudain maîtriser l'audit stratégique, le conseil fiscal pointu, l'accompagnement personnalisé. Mais transformer un technicien en confident, c'est apprendre à lire les émotions humaines, à rassurer les angoisses, à convaincre les réticents. Des compétences qui se forgent dans le feu de l'expérience, pas dans l'urgence de la survie.
Mais ce qui se passe maintenant brise tous les modèles économiques que nous connaissons. Dans toutes les écoles d'ingénieurs, on t'enseigne Schumpeter et sa "destruction créatrice" : l'innovation détruit des emplois d'un côté, en recrée de l'autre. Ne t'inquiète pas, nous disent les professeurs, c'est le cycle naturel du progrès.
Sauf que cette fois, c'est différent. Radicalement différent.
Pour la première fois dans l'histoire de l'humanité, Homo Sapiens entre en concurrence directe avec une intelligence potentiellement supérieure à la sienne.
Quand l'agriculture a remplacé la chasse-cueillette, les paysans utilisaient leur cerveau humain pour cultiver. Quand l'industrie a tué l'artisanat, les ouvriers mobilisaient leur intelligence pour faire tourner les machines. Quand l'informatique a automatisé les bureaux, les employés gardaient leur avantage cognitif sur les ordinateurs.
Mais aujourd'hui ? L'IA ne se contente pas de remplacer nos muscles ou notre mémoire. Elle s'attaque à notre cerveau même. À notre capacité de raisonnement, de créativité, d'analyse, de décision.
Regarde les victimes : ce ne sont plus les paysans des années 1830, ni les mineurs électrifiés de 1900, ni même les ouvriers robotisés des années 1980. Ce sont les avocats, les médecins, les consultants, les analystes financiers, les architectes, les ingénieurs. Les métiers à plus forte valeur ajoutée de notre économie.
L'IA grignote par le haut de la pyramide cognitive, pas par le bas. C'est exactement l'inverse de toutes les révolutions précédentes.
Il y a pire encore. L'IA ne vient pas seule. Elle amène sa complice sournoise : la mondialisation sauvage. Pendant que l'intelligence artificielle grignote ton travail intellectuel, des mains expertes en Inde, au Maroc, en Pologne proposent tes services cognitifs pour trois fois moins cher.
Voici le cauchemar : l'IA progresse de façon exponentielle. Le marché mondial de l'IA pèse déjà 196 milliards de dollars et devrait exploser à 1 810 milliards d'ici 2030, soit une croissance de 1400% en sept ans. Ce qui prenait cinq années hier s'accomplit en deux ans aujourd'hui et sera bouclé en six mois demain. Une fois qu'elle dévore un domaine, elle continue de grandir, de se perfectionner, de nous distancer à une vitesse vertigineuse.
Marc, développeur web talentueux, facturait 4000€ mensuels il y a deux ans. Aujourd'hui, il se débat pour maintenir 2500€ parce que l'IA génère 70% de son code et ses clients le savent pertinemment. Il doit tout réinventer : devenir architecte de solutions complexes, spécialiste en orchestration IA-humain, ou fusionner développement et conseil stratégique.
Il travaille encore, mais dans un monde devenu hostile où chaque contrat est un combat.
Cette tragédie dépasse l'IA. Depuis trente ans, la classe moyenne française se vide de son sang lentement mais sûrement. Les chiffres de l'INSEE sont implacables : entre 2008 et 2023, le salaire net en équivalent temps plein n'a augmenté que de 0,3% par an en moyenne dans le privé. En 2022, le pouvoir d'achat des salaires a même baissé de 1%, la plus forte chute en 25 ans.
Mais c'est encore pire avec l'effet des intérêts composés de l'inflation. Depuis 2004, l'inflation cumulée en France dépasse 39% sur 20 ans. Pendant ce temps, les salaires publics stagnent : les professeurs débutants gagnent aujourd'hui environ 2100€ nets contre un SMIC à 1400€, soit 1,5 fois le SMIC. Mais il y a quarante ans, ce rapport était de 2,3 fois le SMIC.
L'inflation ronge silencieusement : 100€ de 2004 valent aujourd'hui 139€. Si ton salaire n'a pas augmenté de 39% en 20 ans, tu as perdu du pouvoir d'achat. Cette érosion silencieuse frappe toutes les professions intermédiaires.
Le salaire médian français en 2023 ? 2 183€ nets par mois. La moitié des salariés gagnent moins. Et même les médecins généralistes, avec leurs 5 500€ mensuels, ne sont plus les bourgeois d'antan mais de simples classe-moyens au pouvoir d'achat érodé.
Les salaires ne s'effondrent jamais brutalement. Ce serait trop visible, trop révoltant. Ils s'étiolent contrat après contrat, négociation après négociation, comme une hémorragie interne qui te tue à petit feu.
Une étude de l'OFCE révèle que le pouvoir d'achat des ménages français a reculé de 230€ par an entre 2008 et 2015, soit une perte de 1 630€ par ménage. Entre 2011 et 2013 seulement, les nouveaux prélèvements fiscaux ont amputé le pouvoir d'achat de 930€ par ménage.
Quand des millions de personnes voient leurs revenus amputés de 30%, l'onde de choc fracasse tout l'écosystème. Le bistrot du coin ferme parce que les consultants freelances mangent des sandwichs chez eux. Les boutiques de vêtements agonisent avec le télétravail généralisé. Les agences de voyage se meurent parce que les classes moyennes sacrifient leurs vacances sur l'autel de la survie.
D'ici 2030, les signaux faibles se multiplient. Moins de sorties, reports d'achats, économies de bouts de chandelles.
Entre 2035 et 2040, 80% de chances que l'effondrement soit spectaculaire. Restaurants populaires fermés en cascade, centres commerciaux transformés en cimetières de béton, secteurs entiers des loisirs rayés de la carte.
Paradoxe cruel : pendant que la masse sombre, le luxe authentique flamboie. Quand tout devient robotisé et sans âme, l'artisanat sublime, les expériences exclusives, le service ultra-personnalisé deviennent inestimables.
Les segments moyens ? Pulvérisés. Coincés entre le low-cost automatisé et le luxe inaccessible.
Les 1% les plus fortunés vont voir leurs richesses exploser comme des supernovas. Pourquoi ? Ils savent faire travailler l'argent pendant que 80% de la population ne sait que vendre sa force de travail.
Ils investiront massivement dans les entreprises robotisées, rachèteront l'immobilier au prix de la ferraille quand les classes moyennes braderont leurs biens, s'empareront des actifs sacrifiés sur l'autel de la nécessité. 83% des entreprises font déjà de l'IA leur priorité absolue, 43% prévoient de réduire leur personnel en contrepartie.
Les entreprises qui automatisent pour massacrer leurs coûts découvriront horrifiées qu'elles ont tué leur propre clientèle. Paradoxe tragique : atteindre l'efficacité parfaite en détruisant la capacité d'achat de leurs marchés.
Contrairement aux crises passées, les États sont exsangues. La France croule sous 110% d'endettement, les États-Unis flirtent avec 130%. Quand le tsunami IA déferlera vraiment, entre 2035 et 2040, les gouvernements n'auront plus une cartouche pour amortir le choc.
Soit ils acceptent une dette suicidaire, et c'est l'hyperinflation qui nous guette. Soit ils laissent faire, et c'est l'explosion sociale garantie.
L'Histoire bégaie : les grandes crises économiques accouchent des guerres. 1929 a enfanté 1939. Avec des États fauchés et des populations désespérées, le cocktail sera explosif.
Entre 2035 et 2045, trois destins nous attendent.
70% de chances d'une crise majeure avec chômage structurel massif, effondrement du pouvoir d'achat, révolution sociale nécessaire.
20% de chances d'une adaptation progressive maîtrisée avec émergence de nouveaux équilibres économiques.
10% de chances d'une disruption totale nécessitant de réinventer la civilisation de fond en comble.
L'adaptation finira par se faire, mais une génération plus tard. Tes enfants trouveront leurs marques dans ce monde post-apocalyptique. Toi, tu es dans la génération sacrifice. Celle qui encaisse le choc pour que les suivantes survivent.
Mais tu peux te préparer intelligemment. Voici comment.
Pour tes enfants, évite l'ingénierie logicielle classique. 80% de transformation après 2035. Vise plutôt des domaines d'avenir.
Si tu veux qu'ils fassent de longues études, dirige-les vers le biomédical. La révolution de la santé personnalisée ne fait que commencer. Nano-médecine, dispositifs implantables connectés, thérapies géniques... Le vieillissement de la population combiné à l'IA médicale crée une explosion des besoins. Ces ingénieurs conçoivent des exosquelettes, développent des cœurs artificiels, maintiennent la robotique chirurgicale. L'humain vieillit, tombe malade, a besoin d'être réparé. Cette demande ne disparaîtra jamais.
Autre secteur blindé : les systèmes complexes. Ces ingénieurs ne font PAS le travail de l'IA, ils la dirigent, l'intègrent, la coordonnent avec l'humain. Intelligence artificielle distribuée, systèmes cyber-physiques, orchestration homme-machine... Ils deviennent les chefs d'orchestre de cette symphonie technologique. Quelqu'un doit bien dire à toutes ces machines comment travailler ensemble.
La cybersécurité offensive explose aussi. Cyberattaques en hausse de 400% depuis 2020, guerre économique digitale, IA utilisée pour attaquer ET se défendre. Les hackers éthiques, les spécialistes en cryptographie quantique, les experts en forensic numérique deviennent les soldats de cette guerre invisible. Plus le monde se connecte, plus il a besoin de protection.
N'oublie pas l'environnemental tech. La transition énergétique représente 1000 milliards d'investissements d'ici 2030. Hydrogène vert, batteries révolutionnaires, captage carbone... L'urgence climatique industrialise des secteurs entiers.
Mais il y a une autre voie, plus accessible, plus rapide, et souvent plus lucrative : l'artisanat de luxe. Si tes enfants n'aiment pas les études longues, pousse-les vers les métiers du fait main haut de gamme.
Un Bac Pro Horlogerie suivi d'une spécialisation montres de luxe ? Métier en tension extrême, revenus excellents. L'artisanat et métiers d'art mène à l'ébénisterie haut de gamme, mobilier sur mesure, yachts de luxe. Même la réparation de carrosseries peut se spécialiser dans les véhicules de collection. Ferrari, Porsche vintage... il faut bien quelqu'un pour les réparer.
Tu peux aussi orienter vers les CAP ultra-spécialisés. Le lapidaire qui taille les pierres rares exerce une profession confidentielle très recherchée. Le brodeur d'art travaille pour les maisons de couture prestigieuses. Le luthier fabrique violons et guitares haut de gamme pour un marché international. Le chocolatier-confiseur d'art développe le chocolat artisanal premium.
Il existe même des métiers techniques haute valeur avec des formations courtes.
Technicien en micro-électronique pour réparer les composants luxe, restaurateur d'œuvres d'art dans un marché en explosion, réparateur d'instruments de musique, maroquinier sellier pour bagages sur mesure...
L'intelligence artificielle ne remplacera jamais la main qui taille une pierre précieuse, qui assemble un mouvement horloger ou qui répare un Stradivarius. Ces compétences deviennent même plus précieuses à mesure que le monde se digitalise.
La logique est implacable : plus l'automatisation progresse, plus l'authentique fait main devient rare et cher. Ces artisans ne subissent pas la concurrence de l'IA, ils en bénéficient par contraste.
Quand tout devient robotisé et sans âme, les gens paient des fortunes pour du cousu main, du service ultra-personnalisé, de l'artisanat authentique.
Pour toi, maintenant, deviens hybride : technique plus humain plus créatif. Les robots excellent dans un domaine, toi tu dois exceller dans trois.
Maîtrise l'IA dans ton secteur. 35% des entreprises utilisent déjà l'IA, 42% explorent son adoption. 200 milliards de dollars seront investis dans l'IA en 2025. Celui qui contrôle l'outil contrôle le marché. Sinon, tu deviens l'outil.
Tisse ton réseau international. Le travail à distance va exploser, les frontières s'estomper.
Investis dans le tangible : immobilier physique, valeur refuge quand tout se dématérialise. Les actions d'entreprises qui sont à la pointe de cette évolution, le commerce...
Apprends l'artisanat de luxe : cuisine gastronomique, ébénisterie d'art, horlogerie. Les gens paieront des fortunes pour du fait main sublime.
Développe ton intelligence émotionnelle. Dans un monde de machines froides, savoir gérer l'humain, motiver les équipes, résoudre les conflits, négocier, convaincre, rassurer devient l'or pur de demain.
D'ici 2030, 85% de chances que naissent de nouvelles professions : 97 millions de personnes travailleront dans le domaine de l'IA selon les prévisions. Spécialistes en communication IA, auditeurs de biais algorithmiques, thérapeutes de l'anxiété technologique, coachs en transition numérique.
Gartner estime même à 500 millions le nombre d'emplois qui seront créés par l'automatisation d'ici 2033. Mais tous exigent la même compétence rare : l'intelligence relationnelle. Savoir écouter une détresse, accompagner une transformation, rassurer une angoisse. Des compétences qui ne s'achètent pas en formation éclair mais se cultivent dans l'intimité de l'expérience humaine.
50% des travailleurs devront se requalifier d'ici 2025 selon le World Economic Forum. Mais le décalage entre les compétences des travailleurs déplacés et les exigences des nouveaux postes est abyssal.
L'humanité a survécu à l'agriculture qui a tué la chasse, à l'industrie qui a tué l'artisanat, à l'informatique qui a tué le papier. Elle survivra à l'IA qui tue l'emploi traditionnel.
Mais il y a une différence terrifiante : toutes ces révolutions précédentes ont touché d'abord les métiers "de base" - paysans, mineurs, ouvriers - puis ont créé des emplois "supérieurs" nécessitant plus d'intelligence humaine. Les déplacés pouvaient évoluer vers des postes plus qualifiés.
Aujourd'hui, c'est l'inverse absolu. Les premiers touchés sont les métiers intellectuels les plus sophistiqués. Quand un avocat spécialisé en droit des contrats se fait remplacer par une IA juridique, vers quoi peut-il évoluer ? Vers un poste "encore plus intelligent" ? Mais l'IA progresse plus vite que lui sur ce terrain.
Pour la première fois, la révolution technologique attaque directement le cerveau humain, notre dernière forteresse évolutive.
Chaque révolution précédente sacrifie 20 à 30% de la population active.
Cette fois, la vitesse sera foudroyante ET la cible sera notre intelligence même.
La vague monstrueuse approche, mon ami. Tu as un avantage inestimable : tu la vois venir.
Prépare-toi intelligemment. Pas pour fuir, mais pour être celui qui, quand le monde bascule, possède les compétences et l'agilité pour t en sortir et peut etre même renverser la situation.
L'IA va créer une prospérité inouïe ET une destruction massive. Les deux faces d'une même pièce diabolique. La question vitale : comment vas-tu naviguer cette tempête historique ?
Cette analyse prospective s'appuie sur mon mastère spécialisé en intelligence économique et scientifique obtenu à l'ESIEE (école d'ingénieur).
Quand j'etais responsable de veille stratégique chez AXA, mon travail consiste à décrypter les signaux faibles, analyser les ruptures technologiques et anticiper leurs impacts économiques et sociaux.
Ce que je te décris n'est pas de la science-fiction, mais une projection basée sur des données factuelles et des tendances déjà observables.
Parce que j'ai foi en toi. En ta capacité d'adaptation. En ton intelligence. En ta volonté de survie économiques.
Dans l'attente de te voir triompher,
P.S. : Dans le prochain message, je révèle les secteurs "blindés" contre cette "apocalypse IA" possible et ceux où l'adaptation sera une question de vie ou de mort. Avec des stratégies de combat pour chaque situation.